Parce que le rap le vaut bien
Aimer le rap n'est pas tout lui passer. Si le rap se réduit trop souvent à du sale bien gras, il faut s'interroger : pourquoi ces représentations virilistes au sein du rapgame, et surtout pourquoi y réduire le rap tout entier ?
Avec un plaisir non dissimulé, Benjamine Weill propose une lecture critique du sale pour en comprendre les piliers - sexistes et racistes - et dénoncer les intérêts du capitalisme à le promouvoir quasi exclusivement à travers des idoles stéréotypées.
Après ce bon coup de balai dans le sale, il est enfin possible de poser un regard juste sur le rap et de célébrer la diversité et la complexité d'un mouvement culturel résolument inclusif et citoyen, toujours nourri par les principes Hip-Hop. Le rap français mérite une bientraitance politique et culturelle : cet essai en est la preuve.
Philosophe de formation, Benjamine Weill exerce dans le travail social, notamment en Seine-Saint-Denis, depuis vingt ans. Grande amatrice de rap depuis son adolescence, elle collabore à plusieurs médias spécialisés et accompagne de nombreux artistes dans leurs projets pour faire rayonner la culture Hip- Hop.
« Essai au ton volontairement polémique et qui souhaite mettre en crise le « sale » dans le rap, ses représentations stéréotypées et rétrogrades. [Ni puriste dépassée, ni jeuniste iconoclaste, elle milite pour une bientraitance inclusive (mais toujours subversive) du rap et pour qu'enfin, l'on déboulonne, dans les coulisses, les statues virilistes, racistes et néo−libérales : « parce que le rap le vaut bien ». QG
« Avec cet essai vécu de l'intérieur, elle prouve [... qu'] « aimer le rap n'est pas tout lui passer. » Le Monde.fr
Aimer le rap n'est pas tout lui passer. Si le rap se réduit trop souvent à du sale bien gras, il faut s'interroger : pourquoi ces représentations virilistes au sein du rapgame, et surtout pourquoi y réduire le rap tout entier ?
Avec un plaisir non dissimulé, Benjamine Weill propose une lecture critique du sale pour en comprendre les piliers - sexistes et racistes - et dénoncer les intérêts du capitalisme à le promouvoir quasi exclusivement à travers des idoles stéréotypées.
Après ce bon coup de balai dans le sale, il est enfin possible de poser un regard juste sur le rap et de célébrer la diversité et la complexité d'un mouvement culturel résolument inclusif et citoyen, toujours nourri par les principes Hip-Hop. Le rap français mérite une bientraitance politique et culturelle : cet essai en est la preuve.
Philosophe de formation, Benjamine Weill exerce dans le travail social, notamment en Seine-Saint-Denis, depuis vingt ans. Grande amatrice de rap depuis son adolescence, elle collabore à plusieurs médias spécialisés et accompagne de nombreux artistes dans leurs projets pour faire rayonner la culture Hip- Hop.
« Essai au ton volontairement polémique et qui souhaite mettre en crise le « sale » dans le rap, ses représentations stéréotypées et rétrogrades. [Ni puriste dépassée, ni jeuniste iconoclaste, elle milite pour une bientraitance inclusive (mais toujours subversive) du rap et pour qu'enfin, l'on déboulonne, dans les coulisses, les statues virilistes, racistes et néo−libérales : « parce que le rap le vaut bien ». QG
« Avec cet essai vécu de l'intérieur, elle prouve [... qu'] « aimer le rap n'est pas tout lui passer. » Le Monde.fr
Disponible sous 7 à 15 jours
EAN
9782228932950
Éditeur
Payot
Collection
Payot
Date de parution
05/04/2023
Format
27 mm x 225 mm x 142 mm
Nombre de pages
320
Presentation
Broché
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