Polluer, c’est coloniser explique que les chercheurs et les militants sont souvent animés de bonnes intentions mais que leurs méthodes sont inconsciemment tributaires d’une vision du monde coloniale, notamment fondée sur l’idée que le territoire est une ressource. À partir de son travail sur les terres autochtones du Canada, Max Liboiron montre que la pollution plastique est l’expression d’un rapport colonial au territoire et pose les bases d’une science anticoloniale.
Disponible sous 7 à 15 jours
EAN
9782354802967
Éditeur
AMSTERDAM
Date de parution
18/10/2024
Format
23 mm x 215 mm x 151 mm
Nombre de pages
270
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